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 Qui suis-je ? 

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Je suis une « sénior », maintenant à la retraite…

Ma carrière professionnelle :

Après quelques années au sein du service comptable d’une entreprise, je me suis orientée vers l’enseignement.

Ma passion a toujours été la rencontre, le partage et aider l’autre à avancer sur son chemin.

J’ai adoré enseigner… créer des cours… cherchant parfois longtemps la phrase juste, pour que les élèves comprennent au mieux l’idée que je souhaitais leur transmettre…

Puis en classe, guetter sur un visage l’expression de doute… ne pas avoir compris… et aider cet élève à exprimer son raisonnement, pour qu’il puisse identifier où se trouvait sa difficulté et la résoudre…

Oui, j’ai vraiment aimé !

Accepter les élèves, tels qu’ils étaient… sans jugement sur leurs capacités, leurs difficultés… et les aider à développer en eux, le meilleur d’eux-mêmes…

A un peu plus de 40 ans, j’ai découvert le Qi Gong et le Tai Chi… un univers dans lequel j’ai plongé, là aussi, avec un grand bonheur… enchainant des stages et des formations… pour aboutir, encore une fois, à la transmission et au partage, dans les cours que je donne depuis 2014 au sein d’une association.

Et c’est tout naturellement, qu’au moment de la retraite, je me suis tournée vers l’accompagnement en thérapie brève. Un nouveau parcours de formation : l’hypnose éricksonienne et humaniste, la PNL, la Thérapie Symbolique Avancée…

Des outils pour continuer d’aider, d’accompagner… de partager… dans l’accueil et sans jugement…

Mon parcours personnel :

Je n’ai pas fondé de famille… pas d’enfant… pas de petits-enfants…

Ce n’était pas un choix… mais des circonstances…

Ne pas avoir donné la vie… il a fallu accepter de faire le deuil…

Et la famille, c’est aussi les parents…

Mon père, emporté à 69 ans, après plus d’un an de combat contre un cancer…

Ma mère, qui a développé à 60 ans une forme lente de la maladie d’Alzheimer…

Pendant 25 ans… l’accompagner dans sa perte de repères, de ses moyens… de sa mémoire… accepter de ne plus être reconnue par sa propre mère…

Accepter de devoir passer le relais… en epahd… lorsque la situation devient ingérable… sentiment d’abandon… de culpabilité…

Et là aussi, accepter de faire le deuil de la maman, avant même son décès…

et devoir le faire à nouveau, lorsqu’elle est partie définitivement…

Oui… les aidants familiaux sont un pilier indispensable pour les malades… et ils doivent prendre soin d’eux… pour tenir… et plus tard, pouvoir se reconstruire…

Car mon chemin de vie continue.

Plein de surprises, de rencontres… de plaisir et de petits bonheurs…

De difficultés et de tristesse, parfois… comme lors de l'accompagnement de mes 2 frères aînés, l'un parti à cause d'un accident et l'autre de maladie...

Et des espoirs, toujours !

Les épreuves sont là pour que nous arrivions à les surmonter et qu’on en sorte encore plus fort.

Des projets, toujours !

Et le plaisir d’avoir fait ma part, comme le petit colibri...

Lorsqu’à la fin d’un accompagnement je vois une personne repartir avec le sourire et, dans les yeux, l’espoir d’un nouveau demain possible…

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